Stop à la psychose hygiéniste : Recouvrons tous nos droits d’avant !

Le 3 septembre 2020 Bas les masques ! Tous masqués ! tous mannequin ! Tous pantins ! Nous actualisons juste l'article que nous avions écrit il y a 4 mois qui nous parait malheureusement tristement toujours d'actualité. En effet depuis, le masque est devenu presque obligatoire partout. Alors que très peu de personnes sont hospitalisées, sans compter les services de réanimation vide, l'absence de mortalité en Savoie et Haute Savoie depuis des mois. Il y a eu plus de décès dans nos départements par noyade que par le Covid..qu'attend le préfet et les élus pour interdire les baignades !! Le pire est arrivé puisque aujourd'hui la demande sociale, pilotée par une peur irrépressible et irrationnelle, savamment initié par les pouvoirs publics et les médias dominants, devance la loi et fonctionne admirablement comme une contrainte sociale totale. Le meilleur des monde arrive enfin ..pour le bonheur de tous ...la liberté en moins. Article du 8 avril 2020 A l’occasion de la dissémination en France de février à mai 2020, du covid 19, de la palette de mesures nécessaires à prendre et de sa temporalité, pour s’en protéger, mesures et calendarité que le Président Macron et son gouvernement n’ont pas prise, de l’état catastrophique des services d’urgences et hospitaliers pour faire face à un tel défi, ce qui a provoqué le chaos sanitaire dans les “territoires foyers“, et épuisés encore plus les soignants, de l’absence de protection des personnels de santé qui étaient en première ligne, de l’abandon des personnes âgées dans les Ephad qui sont décédés par défaut de soins, de la sidération de masse suite à l’enfermement à domicile, l’assignation à résidence comme une punition généralisée, de la mise en place d’un dispositif policier répressif inouï ( plus de 35% de la population adulte contrôlée, plus de 1.000.000 amendes) s’abattant sur un peuple de citoyens devenu, potentiellement, tous délinquants par la seule décision du pouvoir de la caste, des violences policières sans borne, dont le bilan est déjà lourd (1500 arrestations et garde à vue, 5 morts) fidèle en cela à la culture et la tradition historique de la Police Française, l’arrêt et la destruction d’une partie de l’économie du pays, de la perte des droits sociaux par les salariés, ayant comme conséquences de plonger des centaines de milliers de personnes dans une économie de survie, semant l’angoisse du lendemain pour plus de 30% de la population active, de la volonté de la part de la caste dirigeant l’Etat de museler l’information, de désigner et chasser les citoyens dénonçant et dévoilant cette stratégie, en donnant, par exemple, des directives dans ce sens jusque dans les écoles, de l’amplification par les médias de cette propagande d’Etat, de la stratégie de diffusion d’informations incomplète quand elles n’étaient pas carrément fausses, et uniquement orientée vers la culpabilité et la peur, ont réussit a construire pendant plus de deux mois l’idée qu’un virus était là omniprésent, ubiquiste, diffusant son maléfice sur tous, tapis dans tous les recoins du pays, dans toutes les maisons, portés par chacun et par tous, indifféremment des lieux et des temps et au final responsable de tout ce capharnaüm. La construction à grande échelle d’une irrationalité généralisée, d’une psychose collective était en marche. Ce procédé d’intoxication psychologique, avec ces délires mensongers ont été colporté quotidiennement et asséné sans aucun répit, par une “industrialisation du consentement“, (W.Lipmmann /E.Bernays) digne des pires théories de Gustave Le Bon, nous conditionnant en un temps record, comme jamais nous ne l’avions été jusqu’à présent.

Cette situation a pour conséquence d’activer plusieurs réflexes humains. -La peur métaphysique de la mort, -La confusion généralisée, amenant chacun à prendre des positions ou des comportements irrationnels, -Le doute, la méfiance quand ce n’est pas la perte de toute CONFIANCE dans les décisions des “sachants“ : ( politique, journaliste, médecin). Pourtant les indicateurs et les mesures scientifiques permettant d’asseoir une rationalité critique, une raison, sont à notre portée, grâce surtout à l’Internet et au travail de l’Inserm et de l’Insee. Il est toujours inquiétant et désespérant de constater que plus de 4 siècle après un des enseignements majeurs de la réforme protestante ; à savoir le retour au textes, aux sources, ici, les indicateurs ne sont pas le reflexe de tous. Bien au contraire, la croyance majoritaire dans les prédicateurs des points presse, les sophistes des écrans télévisuels et autres, sont dominants. Que disent, ces données ? Ils nous disent que la mortalité total du mois de mars 2020 est inférieure à celle du mois de janvier 2017. Que la mortalité totale du 1er trimestre 2017 est supérieure à celle du 1 er trimestre 2020. Que 4 à 5 départements n’ont déploré aucun mort. Que s’il fallait, bien évidemment être prudent (ce qui n’a pas été le cas de ce pouvoir) dans les premières semaines, quand à l’évolution de la dissémination de ce virus, toutes les données, en fin avril et début mai 2020, nous indiquent que dans plus de 50 départements le virus n’a pas été virulent, ni mortel significativement. Toutes ces données nous permettent donc, de dire que cela ne peut en aucun cas être un prétexte : -à maintenir les populations de ces territoires plus longtemps confiné, -à interdire les individus à vivre dans et par leur écosystème naturel (Forêts, Montage, Plage, Lacs, rivières, espaces verts dans le tissu urbain) -à interdire les individus à vivre dans et par leur écosystème culturel (Espace culturels, Bars, restaurants etc…), -à priver les citoyens de leurs droits civiques et sociaux. Réclamons tous le recouvrement de l’ensemble de nos libertés, de nos droits sociaux et politiques d’AVANT, ici et maintenant ! Toute cette stratégie inflige une violence inouïe et traumatique, à tous, et en particulier aux plus fragiles d’entre nous, et au peuple tout entier.

Elle a eu pour effet de déclencher une réaction psychologique, économique et sociale, en chaîne que la caste représentant de la classe propriétaires des richesses, sont bien incapables, maintenant de contrôler et de stopper. Les conséquences pour le peuple seront désastreuses pendant des années, si il n’y a pas de réaction politique et sociale à la hauteur. Mais asservir pendant deux mois un peuple entier ne leur suffisait pas, la deuxième phase de leur plan arrive : comment déconfiner, tout en continuant de brandir la peur du virus mais sans rendre leurs libertés aux citoyens ? Inoculer une paranoïa hygiéniste . Confrontés à leurs propres injonctions contradictoires, la caste contrôlant l’Etat doit aussi faire face maintenant à la psychose qu’ils ont eux-mêmes créée, qui leur échappe, mais qui se répand, comme un nuage toxique. A longueur de journée ils nous assènent l’idée qu’une ; “ deuxième vague va arriver “. Et du haut de leur mirador ils aperçoivent, sans cesse : “un relâchement de certaines personnes ou catégorie de citoyens “ (Bouc émissaire) . Le principe psychologique d’une telle politique sécuritaire est ici appliqué à la lettre. Mais rappelons que c’est un invariant que nous connaissons déjà, car Il est le même depuis des années. En effet ils nous ont habitué à : -Déclencher chez chacun d’entre nous un réflexe protecteur (automatisme mentale) par un calcul (Coût/Risque ) un chantage, une culpabilité. Comment ? En distillant par exemple la peur ; que la “crise“ économique “vous fasse perdre votre travail si vous ne faites pas une “ petite “ concession “ c’est à dire travailler plus en gagnant moins que vous abandonniez de vous même (démocratie) quelques acquis sociaux, que la délinquance et la criminalité étant ce qu’elles sont : “il y a beaucoup de chance que vous puissiez être attaqué au coin de la rue“, et ainsi approuver l’augmentation de la vidéo surveillance et permettre à l’Etat policier de s’étendre encore plus, mais nous pouvons aussi tous, être victime d’un “attentat islamiste“ bien évidemment, imprévisible mais qui peut surgir à tous moments, et ainsi accepter la militarisation de la société. Ici c’est un virus à qui ils font jouer le mauvais rôle (qui l’avait déjà) et qui habilement accompagné par une stratégie politique bien déterminé à fait son intrusion, au delà de la raison, dans nos pensée, dans nos esprits, dans nos vies. On voit bien combien les procédures et protocoles savamment cogités par l’exécutif et livrés impérativement aux manants (collectivités territoriales) pour la réouverture des écoles, par exemple, plongent les maires, les personnels de l’enseignement dans un univers kafkaïen et ubuesque et les familles dans une indécision abyssale. Comme de bien entendu à la mi-mai 2020, le virus est présent partout : sur les poignets des portes, les chaises, sur les tables, les livres, les cahiers, les stylos, les gommes…..Alouette je te plumerais… dans le sable des plages, sur les feuilles des forêts, sur les pierres des sentiers …Désinfection permanente et généralisée…Une folie humaine… irrépressible ? Par contre le virus ne prend apparemment pas depuis deux mois la ligne n°13 du métro parisien, ni aucun transports en communs, et il a l’air d’avoir la phobie des avions (alors qu’il a été disséminé précisément par ce mode là ). La caste à un projet : abolir le sens et la raison du peuple. La castration mentale, prédit par Bernard Noël, sévit pleinement Ne serions-nous pas sur un mode de psychiatrisation généralisée de la société ? Comme le disait très bien le responsable des urgences, par ailleurs sûrement très compétent dans son travail, de l’hôpital Georges Pompidou, le 28 avril au journal de 20h de France 2. « Le masque est là pour que vous ne salissiez pas de vos microbes l’environnement »

180 ans après, le “bon“ docteur Villermé, n’en croirait pas ses oreilles, en plein XXI siècle, le rêve hygiéniste serait en passe de se réaliser. Car la bourgeoisie a une longue tradition dans l’aménagement de l’environnement du peuple et donc de la structuration des mentalités et des vies des autres classes que la sienne. Ainsi, alors qu’elle n’était pas encore définitivement triomphante et dominante, entre 1820-1870, elle a eu peur de sa propre disparition.   -Premièrement par sa mort sociale : avec les nombreuses émeutes, révoltes ouvrières ( Canuts, Paris 1932, Lille Clermont Toulouse en 1840 et révolutions (Journée de 1830 et 1848) -Deuxièmement par sa mort physique, par les innombrables épidémies (surtout choléra de 1832 et 1849 à Paris et dans les grandes villes). Le coupable ? Le peuple, toujours et encore lui ! On peut dire qu’à l’époque, il était totalement relâché, mais aussi très sale, les mains souillés, un dépravé, avec des mœurs douteuses, buveur, très agité, avec des idées sociales et révolutionnaires. Il s’est agit de le redresser, de l’adapter au monde d’après, de le rendre plus obéissant. On lui appliqua la méthode des architectes nouveaux urbaniste (Haussmann) avec la démolition de ses habitats ( ça calme ! ) et la ségrégation urbaines dans des cantonnements, dans des quartiers dédiés. Puis on lui a livré, le kit des hygiénistes patentés (Villermé/ Hallé), avec la fabrication d’une nouvelle famille ouvrière à l’hygiène et au mœurs saines, surveillé par des “visiteuses sociales“. Bon pour ceux qui n’avaient toujours pas compris : on a organisé quelques massacres ( 100.000 personnes tout le long du XIX siècle) . Un monde d’après en quelque sorte puisque nous y sommes toujours…l’invention du crédit en plus. Nous n’avons pas d’autre choix que de vivre avec ce virus, que ce soit celui là où un autre. Nous n’avons pas d’autre choix que d’exiger une politique publique de protection de la population digne de ce nom (qui n’a nullement été mis en place et ne le sera jamais par ce type de gouvernants) Mais nous devons aussi extirper toute psychose hallucinante que cette caste s’ingénie à nous inoculer quotidiennement. Libérons les départements concernés de toutes ces contraintes oppressives ! Libérons-nous de cette camisole psychique et physique au plus vite ! Militons pour la réouverture de tous les espaces, l’espace public: lieu du Politique, les restaurants et les cafés, dont le comptoir a été de tous temps : “ Le parlement du peuple “.

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