Vive la lutte, le combat, et la résistance du peuple palestinien depuis 100 ans.

On ne peut qu’avoir de l’admiration face à un peuple et ses combattants, que la communauté internationale a lâchement abandonné, et qui connait depuis un siècle des massacres, une extorsion et une expulsion de ses terres, une déportation de ses habitants, plusieurs dizaines d’Oradour sur Glane et maintenant en 2025 un génocide, une famine organisée et de nouveau une déportation programmée, massive de sa population par l’Etat fasciste d’Israël. Pourtant dans les familles palestiniennes, se trouve toujours, quand elles n’ont pas été détruite par l’occupant israélien, les documents et autre titres de propriété transmis par l’arrière grand-père ou le grand-père. Pourtant toujours se transmet de parents à enfants le récit de son histoire contemporaine. Pourtant à travers les générations se construit et se transmet, malgré la destruction des sites archéologiques, des bibliothèques et des universités, par le fascisme israélien, le savoir scientifique et culturel du peuple palestinien. Pourtant malgré l’emprisonnement et la torture dans les geôles israéliennes, de plus de la moitié de la population masculine, de milliers d’enfants et de femmes, la foi en une terre retrouvée est toujours présente Pourtant malgré le génocide en cours, l’espérance d’un avenir pour les générations futures est toujours présent. Il y a aussi au centre de cette résistance, la croyance fortement ancrée dans les coeurs en ALLAH. Il y a le Djihad majeur (Spirituel) et mineur (Guerrier) qui servent de guide pour une grande majorité de palestinien, pour survivre et combattre. Cette dimension de la religion constitue bien, pour tout ceux et celles qui souffrent l’enfer sur terre « la chaleur d’un monde sans coeur » (1) bien avant d’être un opium du peuple. À Gaza, en Cisjordanie, en Jordanie, au Liban, comme dans les camps nazis, toujours et pour beaucoup Allah Akbar. Note (1)« La détresse religieuse est, pour une part, l'expression de la détresse réelle et, pour une autre, la protestation contre la détresse réelle. La religion est le soupir de la créature opprimée, la chaleur d'un monde sans cœur, comme elle est l'esprit de conditions sociales d'où l'esprit est exclu. Elle est l'opium du peuple. «  Karl Marx, Critique de la philosophie du droit de Hegel, 1843

Commentaires