Covid 19/ Chloroquine : De nouveau la bêtise criminelle du pouvoir médical et politique

Le Professeur Didier Raoult depuis 2 mois et demi se bat contre le virus du Covid 19 et auprès de ses patients pour les soigner et les guérir, mais il se bat aussi contre les autorités médicales, médiatiques et politiques qui n’ont cessé de le discréditer. Il rejoint en cela deux figures majeures de l’histoire de l’infectiologie : Semmelweis et Pasteur. Voici maintenant plus d’un mois qu’un professeur de médecine spécialiste en infectiologie et en microbiologie, inconnu du grand public : Professeur Raoult a mis en place à l’Institut hospitalo-universitaire en maladies infectieuse de Marseille, puis l’ouvrant à un large public marseillais un protocole de soin contre le coronavirus. Premièrement en proposant rapidement de dépister un grand nombre de personnes, 38.000 personnes à ce jour, ce qui constitue une première en Europe. Ceci contre l’avis du gouvernement et surtout sans que ce dernier ne bouge le petit doigt pour étendre cette procédure à grand échelle : 1 mois de perdu ! Deuxièmement en proposant aux personnes atteintes du Covid 19, dans les premiers jours et en suivant un protocole médical strict, un traitement à l’hydroxychloroquine «  probablement le traitement le moins cher et le plus simple pour traiter le coronavirus de la covid 19 » déclare t-il le 25 février 2020. Faut dire qu’il venait de surveiller avec ses équipes, depuis le début février 2020 les 181 personnes rapatriées de Wuhan (Chine) et confinées en quarantaine à Carry-le –Rouet (Bouches du Rhône). Le 10 avril 2020 l’étude en cours de finalisation portera sur 1061 patients traités, avec un taux de mortalité de 0,5% (5 décès) et un taux de guérison virologique de 91,7%. Pendant ce temps là qu’a fait le gouvernement pour protéger et soigner sa population : RIEN Temps de perdu : 2 mois et demi

En fait, reconnaissons quand même, que ce gouvernement policier n’est pas resté sans rien faire. Il a : -Confiné à l’aveugle 67 millions de personnes sous surveillance policière et provoqué un choc et un chaos, psychique, social, économique, culturel et politique dans l’ensemble de la population, aux conséquences inouïes. Près de 15% de la population contrôlé. -Dénigré et décribilisé la réputation du professeur Raoult en relayant sur le site du Ministère de la santé pendant 36 heures avant de le supprimer,(16 mars) l’information des Décodeurs du journal Le Monde qui signalait, sans vergogne le travail de ce professeur comme étant une “Fake News“. -Se conformant à l’avis du Conseil Scientifique, prît le 26 mars 2020 un décret encadrant et restreignant drastiquement de fait, la diffusion et l’utilisation de ce médicament (Plaquénil) privant les patients habituels de leur traitement. Et empêchant de nombreuses personnes en France atteintes du covid 19 de pouvoir bénéficier d’un soulagement et d’une guérison. -Comme l’a révélé le 8 avril 2020, le Président du Conseil Régional PACA, en réquisitionnant, chez Sanofi, les stocks de hydroxychloroquine commandé par cette collectivité territoriale. - Sciemment caché le réel nombre des morts du Covid 19 en France . Tous les jours ce Président ment, puisque selon les chiffres de leur propre administration (Santé publique France-INSERM) la mortalité au 7 avril 2020 à 14h était de 15.534 morts ( Hôpital, Ephad, EMS, Ville) et non de 12.210 (hôpital Ephad) comme le proclame leur porte parole le 9 avril 2020 et comme le répète en boucle, les médias aux ordres, tels des perroquets du pouvoir. À la date du 9 avril 2020 : il y aurait donc 17.000 morts, (Hôpital, Ephad, EMS, Ville) ce chiffre est un extrapolation du chiffre officiel publié le 7 avril 2020 ( Hôpital, Ephad) auquel il faut rajouter les décès en Etablissements Médicaux Sociaux, et les décès en ville (3975 morts, Mortalité issue de la certification électronique des décès) publié dans le Point épidémiologique hebdomadaire du 09 avril 2020. Ces Jour ci, les décès en ville représentent près de 33% du chiffre annoncé chaque soir par le gouvernent. Ainsi chacun peut ajuster le chiffre réel des morts en France. Notons bien évidemment qu'une marge d'erreur subsiste entre ce quadrillage statistique hebdomadaire et la réalité des décès. Aussi il faut corréler ces données avec ceux de l 'INSEE qui décidé d actualiser ces chiffres tous les mois et par départements. A cela s’ajoute bien entendu la propagande et des pouvoirs médicaux et politiques et des médias dominants, qui ne cessent de mettre en garde la population sur ce soit disant traitement. Organisant le doute et la confusion totale. Notons toutefois que de nombreux médecins plus fidèles que les mandarins à leur devoir et leur sermon d’Hippocrate, prescrivent sans le dire quand ils le peuvent ce traitement à leurs patients. Quand ils ne se le sont pas administrés eux mêmes pour tous ceux qui étaient atteints. (Nombreux témoignages dans la presse) En plus de la destruction du service de production de soin depuis des décennies, en plus de la faillite de la stratégie mise en place par ce Président et ce gouvernement depuis 2 mois et demi, nous sommes bien là face à un désarmement volontaire des équipes de soins afin d’empêcher qu’ils apportent le traitement adéquate à la population. Si, comme Macron 1er nous l’a annoncé nous sommes en guerre, on assiste à une déconfiture générale de ce pouvoir pour protéger sa population, qui ne peut que nous faire penser, symboliquement, à une redite de Juin 1940. « Nous venons de subir une incroyable défaite. A qui la faute ?Au régime parlementaire, à la troupe, aux anglais, à la cinquième colonne, répondent nos généraux. A tout le monde, en sommes, sauf à eux. » Marc Bloch L’étrange Défaite. Combien de morts auraient pu, pourraient être encore évité ? Pour finir et pour rester dans l’infectiologie nous allons remonter le temps. Nous voulons rappeler et saluer deux figures illustres de médecins qui se sont heurtés, en leur temps, au pouvoir des mandarins de l’académisme qui a été, de tout temps “cul et chemise “ d’avec les pouvoirs politiques. L’ensemble de ce petit monde ayant tués par leur bêtise crasse et leurs incompétences des dizaines de milliers de femmes en Europe.

Ignace Philippe Semmelweis (1818-1865) médecin obstétricien Hongrois. En 1846 il est nommé à Vienne assistant du professeur Klin qui était suffisant et médiocre mais introduit auprès de la cour, prémisse de la Cacanie (Empire Austro-Hongrois) chère à Robert Musil. Les taux de décès dans la clinique allait de 25% à 33% il monta en mai 1946 à près de 96% de femmes venues accouché de leurs enfants. Semmelweis comprit très vite d’où venait la cause de cette mortalité puerpérale et préconisa que les soignants : infirmières, assistants et médecins se lava les mains. Il prescrit une solution d’hypochlorite de calcium. Temps de lavage 5’. L’infection serait donc propagée par les médecins eux-mêmes ? Les médecins seraient des donc des criminels ? Une injure pour le corps professoral ! Qu’arriva –t-il d’après vous ? Il fut renvoyé ! En 1847, grâce l’appui d’un professeur il peut enfin appliquer sa découverte dans une maternité de Vienne. Résultat le taux de décès des femmes est tombé à 0,23% ! Qu’arriva –t-il d’après vous ? Des professeurs bien intentionnés, réussirent à convaincre l’Académie de médecine de lutter contre cet énergumène et excentrique professeur (tiens déjà) : Il fût chassé d’Autriche. Mais ils ne s’arrêtèrent pas en si bon chemin puisque de Berlin à Edimbourg, de Prague en passant par Paris, les plus grands professeurs d’obstétrique d’Europe et donc du Monde, se moquèrent et ignorèrent de sa découverte. Résultat ? : Pendant 40 ans on retarda la diffusion d’un protocole de soin dans toute l’Europe, qui aurait permis de sauver des dizaines de milliers de femmes. En même temps ce n’étaient pas n’importe quelle femme. Que des femmes du peuple, des femmes dans la misère la plus totale, des filles mères, des femmes à la rue. En 1847, les assistants de Semmelweis disaient, même, à demi-mots à ces malheureuses d’aller accoucher dans la rue, car elles avaient plus de chance de vivre que d’aller en clinique. Semmelweis mourût abandonné dans d’affreuses douleurs à moitié fou. « Tel fût la terrible histoire de Ignace Philippe Semmelweis » comme l’a admirablement écrit Louis Ferdinand Celine, dans son ouvrage qui porte le nom de ce grand médecin et sur lequel il réalisa sa thèse de médecine en 1924.

Louis Pasteur (1822-1895), chimiste et physicien, pionnier de la microbiologie. Nous renvoyons les curieux, à l’histoire passionnante des différentes recherches et polémiques autour des découvertes de Pasteur. Nous rappellerons simplement, ici, sa démarche contre l’antisepsie et sa découverte fondamentale de l’asepsie. Le 30 avril 1878 il présenta les résultats de ses travaux devant l’Académie de médecine, c’est à dire, entre autre, de faire bouillir pendant plus de 30 minutes, les instruments servant aux différentes opérations cliniques (chirurgie etc..). Qu’arriva –t-il d’après vous ? La résistance fût immense et dura 10 ans. Le comble c’est que l’Académisme/connerie conçu qu’il faille bien stériliser les instruments mais seulement pendant 10 minutes. 10 ans pour gagner 20’ et éviter des milliers de morts. Mais étaient-ce, hier comme aujourd’hui leur réelle préoccupation ?

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